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Cover of L'anarchie – pour ainsi dire

Diaphanes

L'anarchie – pour ainsi dire

David Graeber

€18.00

David Graeber's interviews (with Mehdi Belhaj Kacem, Nika Dubrovsky, and Assia Turquier-Zauberman) redefine the contours of what an anarchist morality could be today.

Also available in English edition.

David Graeber (1961-2020) was an American anthropologist, anarchist, political activist, the author of several books, and a leading figure in the Occupy Wall Street movement. Until 2007 he was assistant and associate professor of anthropology at Yale University, until 2013 a reader for Social Anthropology at Goldsmiths, University of London, and until last a professor of anthropology at the London School of Economics.

recommendations

Cover of Qu'est-ce que le sexe ?

Diaphanes

Qu'est-ce que le sexe ?

Alenka Zupančič

La sexualité comme un problème proprement philosophique de la psychanalyse.

La satisfaction de parler contient en soi une clé de la satisfaction sexuelle (et non l'inverse) – une clé de la sexualité et de ses propres contradictions. Alenka Zupančič aborde la question de la sexualité comme un problème proprement philosophique de la psychanalyse – celle de Freud et de Lacan – et non celle des praticiens cliniciens tels que décrits par Lacan « orthopédistes de l'inconscient ». Que se passe-t-il, comme l'affirme Lacan, si nous pouvons obtenir exactement la même satisfaction que le sexe par la parole, l'écriture, la peinture, la prière ou autres activités ? Il ne s'agit pas d'expliquer la satisfaction que procure la parole en indiquant son origine sexuelle, mais bien de souligner que la satisfaction de parler est elle-même sexuelle.

Alenka Zupančič soutient que la sexualité est à la limite d'un « circuit court » entre ontologie et épistémologie. La sexualité et le savoir sont structurés autour d'une négativité fondamentale qui les unit au point de l'inconscient. L'inconscient (en tant que lien avec la sexualité) est le concept d'un lien inhérent entre l'être et la connaissance dans leur négativité même.

Alenka Zupančič est une philosophe lacanienne, spécialiste renommée de Nietzsche, professeure à l'European Graduate School / EGS et à l'Université de Nova Gorica, Slovénie. Elle est également research advisor et professeure à l'Institut de philosophie du Centre de recherche de l'Académie slovène des Sciences et des Arts. Avec Slavoj Žižek et Mladen Dolar, Alenka Zupančič est l'une des figures les plus incontournables de l'Ecole de psychanalyse théorique de Ljubljana dont les travaux s'intéressent aux relations entre sexualité, ontologie et inconscient, à la critique de la théorie du sujet et à l'exploration théorique du concept lacanien du Réel.

Cover of Papillon de verre

Diaphanes

Papillon de verre

Raphaëlle Milone

Fiction €15.00

Raphaëlle Milone's first novel, a dive into the heart of desires, acclaimed by Simon Liberati as well as by Jean-Luc Nancy.

Raphaëlle Milone (born 1991 in Riom) is a French writer.

Cover of Information Activism: A Queer History of Lesbian Media Technologies

Duke University Press

Information Activism: A Queer History of Lesbian Media Technologies

Cait McKinney

Cait McKinney traces how lesbian feminist activists in the United States and Canada between the 1970s and the present developed communication networks, databases, and digital archives to use as a foundation for their feminist, antiracist, and trans-inclusive work.

For decades, lesbian feminists across the United States and Canada have created information to build movements and survive in a world that doesn't want them.

In Information Activism Cait McKinney traces how these women developed communication networks, databases, and digital archives that formed the foundation for their work. Often learning on the fly and using everything from index cards to computers, these activists brought people and their visions of justice together to organize, store, and provide access to information.

Focusing on the transition from paper to digital-based archival techniques from the 1970s to the present, McKinney shows how media technologies animate the collective and unspectacular labor that sustains social movements, including their antiracist and trans-inclusive endeavors. By bringing sexuality studies to bear on media history, McKinney demonstrates how groups with precarious access to control over information create their own innovative and resourceful techniques for generating and sharing knowledge.

Cover of Rage Assassine: Mettre Fin au Racisme

Éditions Divergences

Rage Assassine: Mettre Fin au Racisme

bell hooks

Avant que Black Lives Matter et #MeToo ne viennent secouer l’Amérique et le monde occidental, bell hooks montrait, dans cet essai incisif, que l’abolition du racisme et l’éradication du sexisme vont de pair. Sans le féminisme, la lutte antiraciste reste une affaire d’hommes. Sans l’antiracisme, le féminisme s’expose à servir de courroie aux logiques de domination raciale. L'autrice insiste sur le bien-fondé de la rage qui anime les masses populaires et la jeunesse noire et sur la nécessité d’en faire un moteur de changement social radical. Elle propose une théorie et une pratique révolutionnaires, dont la fin est une communauté solidaire fondée sur l’égalité réelle et la volonté de tou.te.s de travailler au changement.

Traduit de l'anglais par Ségolène Guinard.

GLORIA JEAN WATKINS, connue sous son nom de plume BELL HOOKS, née en 1952, est une intellectuelle, féministe, et militante étasunienne. Elle a publié plus de trente livres et de nombreux articles, et est apparue dans plusieurs films documentaires. Traduits dans de nombreuses langues, ses ouvrages sont considérés parmi les plus importants sur la question aux Etats-Unis et suscitent un réel engouement en France depuis quelques années. Les éditions divergences ont déjà traduit et publié trois de ses ouvrages dont La volonté de changer et A propos d'amour.

Cover of In Pursuit of Revolutionary Love: Precarity, Power, Communities

Divided Publishing

In Pursuit of Revolutionary Love: Precarity, Power, Communities

Joy James

Violence is arrayed against us because we’re Black, or female, or queer, or undocumented. There is no rescue team coming for us. With that knowledge, we need a different operational base to recreate the world. It is not going to be a celebrity savior. Never was, never will be. If you’re in a religious tradition that is millennia-old, consider how the last savior went out. It was always going to be bloody. It was always going to be traumatic. But there’s a beauty to facing the reality of our lives. Not our lives as they’re broken apart, written about, and then sold back to us in academic or celebrity discourse. But our lives as we understand them. The most important thing is showing up. Showing up and learning how to live by and with others, learning how to reinvent ourselves in this increasing wasteland. That’s the good life.

Foreword by Da’Shaun L. Harrison.
Afterword by Mumia Abu-Jamal.

"Joy James’s Revolutionary Love is umph-degree love; or love beyond measure. It is anything love. It is love without reckoning. It is love that dares all things, beyond which others may find the spirit-force to survive; to live to fight another day. Such love is also fighting itself, for the sake of ensuring that others may live." — Mumia Abu-Jamal

Cover of Mon musée de la Cocaïne

Éditions B42

Mon musée de la Cocaïne

Michael Taussig

L’or et la cocaïne sont les deux matériaux bruts de Mon musée de la Cocaïne. C’est au cours de leur transformation et raffinement que ces deux substances ramènent avec elles une histoire de l’oppression et de l’esclavage.

Dans ce livre, l’anthropologue australien Michael Taussig prend comme point de départ la proposition de bâtir un musée de la Cocaïne (qui serait l’image reflétée du musée de l’Or de la Banque de la République à Bogotá) et dresse un portrait sans concession de la vie des mineurs afro-colombiens aspirés dans le monde dangereux de la production de cocaïne au fin fond de la forêt tropicale, sur la côte pacifique de la Colombie. Il décrit la violence, la pauvreté, mais aussi les croyances qui surgissent des marais envahis de mangroves et des rivières tropicales qui, pendant plus de cinq cent ans, ont attiré, ruiné et décontenancé Amérindiens, orpailleurs, conquistadors et pirates, esclaves africains, ingénieurs russes et guérilleros marxistes.

Mon musée de la Cocaïne se présente comme un assemblage éclectique d’histoires et d’anecdotes, présenté comme autant de salles d’un hypothétique musée de la Cocaïne, au sein desquelles le lecteur est invité à déambuler, en croisant des références qui vont de Charles Dickens à Franz Kafka en passant par la poésie de Seamus Heaney.

Cover of Salvage 8: Comrades, this is madness

Verso Books

Salvage 8: Comrades, this is madness

Salvage Editoral Collective

Periodicals €16.00

The Salvage Editorial Collective on the Covid-19 crisis.

Including: ‘Mothering Against the World' by Sophie Lewis on ‘Momrades’, ‘The Bushes’ a new fiction by China Miéville, ‘Hookers and Other Angels’ photography from Juno Mac, ‘Prepared for the Worst’ by Richard Seymour on Disaster Nationalism, ‘Welfare State Populism and the “Left-Behind Left”’ by Kevin Ochieng Okoth, ‘A Glimmer of a Shell of a Husk’ by Maya Osborne; ‘The Phallic Road to Socialism’ by Sebastian Budgen; A newly translated interview with Daniel Guérin, ‘Nationalism After Coronavirus’ by Sivamohan Valluvan, ‘Striking in Striking Times: Capitalism’s Coronavirus Crisis’ by Gregor Gall, ‘Getting Dressed for a Pandemic’ by Camila Valle, ‘Out of the Iron Lung: A Miasma Theory of Coronavirus’ by Matthew Broomfield.

Poetry by Nisha Ramayya, this issue’s featured poet, and an interview with her conducted by Salvage poetry editor, Caitlín Doherty. Plus the return of the Salvage Editorial Collective perspectives pamphlet, and a postcard.

Salvage is a bi-annual journal of revolutionary arts and letters. Salvage is written by and for the desolated Left, by and for those sick of capitalism and its planetary death-drive, implacably opposed to the fascist reflux and all ‘national’ solutions to our crisis, committed to radical change, guarded against the encroachments of ‘woke’ capitalism and its sadistic dramaphagy, and impatient with the Left’s bad faith and bullshit.

Published June 2020